Un accompagnement pertinent pourrait-il être celui qui prendrait au sérieux la rencontre entre l’endogène (équipement neurologique, étiologie organique, tempérament...) et la relation a l’autre ? Plus généralement, ne serait-il pas judicieux de considérer le trouble infantile, quel qu’il soit, comme produit de la rencontre toujours singulière entre le dedans et le dehors ? L’analyse et l’observation attentive des interactions précoces du bébé avec l’environnement promettraient-elles une compréhension plus fine ?
La clinique est toujours complexe et potentialise polémiques et affrontements entre approches. La lutte des théories a propos des autismes peut-elle être mieux dépassée en réfléchissant sur l’inter, l’entre-deux ?
Réfléchir, approfondir et discuter les questionnements autour des thérapies s’inspirant de l’approche psychanalytique et de prises en charge s’incluant dans une enveloppe de soins envisageables avec les jeunes enfants (et leurs parents). Enfants présentant des signes qui évoquent des troubles de la relation à l’autre ainsi qu’à lui-même. L’objectif étant de répondre à une compréhension fine du développement psychique du tout petit dès le début de vie ainsi que du devenir de celui-ci.
*Absence excusée en dernière minute.
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